Indicateurs économiques
La « sphère d’influence » de Vivendi dans les droits de l’Homme au cœur de la création de valeur du groupe
Déclaration
universelle
de l’Unesco
sur la diversité
culturelle (2001)
Convention
de l’Unesco
sur la protection
et la promotion
de la diversité des
expressions culturelles
(2005)
Principes
directeurs de
l’OCDE à l’intention
des entreprises
multinationales
(2011)
Principes directeurs
relatifs aux
entreprises et aux
droits de l’Homme -
Tableau de mise
en œuvre
(2011)
Principes directeurs
sur les droits de l’enfant
et les entreprises,
Unicef, Pacte mondial
des Nations unies et
Save the Children
(2012)
Objectifs de
développement
durable de l’ONU
(2015-2030)
Articles 5, 8, 9, 10
Articles 1, 6, 7, 10
Page 106
Déclaration ;
objectif 8.3
Article 7
Principes 1, 6
Objectifs 4.2, 4.3,
4.7, 5.5, 5.a, 5.b, 5.c
Articles 6, 9, 10
Articles 1, 2, 6, 7
Articles 6, 7
Articles 1, 7, 8
Objectif 11.4
Article 8
Articles 6, 7
Article 10
Page 105
Principe 1
Objectif 4.7
Point VIII.8
Intérêts des
consommateurs
Principes 5, 6
Principes 1, 6
Articles 8, 9, 10
Articles 1, 6, 7, 8
Page 104
Principe 5
Articles 6, 9
Articles 2, 6, 7
Page 104
Principe 5
Objectifs 9.c, 11.a
Article 2
Articles 2, 13
Principe 10
Objectifs 4.7, 12.8
Point VIII.6
Intérêts des
consommateurs
Page 104
Principes 1, 5
Principes 1, 5
Le rattachement des enjeux RSE « cœur de métier » aux droits de l’Homme
permet au groupe d’inscrire cette vigilance dans sa gouvernance (reporting
extra-financier, travaux de vérification des informations de la part des
commissaires aux comptes, inclusion de ces enjeux dans la rémunération
variable des dirigeants) et sa stratégie (voir chapitre 2 section 1 du
Document de référence 2015). Cette politique a été inscrite à l’agenda du
Comité d’audit de Vivendi en 2015.
Cette exigence de transparence des acteurs économiques est de plus en
plus sollicitée par les parties prenantes de l’entreprise et attendue en
vertu d’une réglementation et de référentiels de plus en plus contraignants
aussi bien au niveau national (loi Grenelle II), ou international (Principes
directeurs des Nations unies relatifs aux entreprises et aux droits de
l’Homme ; directive européenne relative aux informations non financières
des grandes entreprises ; lignes directrices de la GRI incluant le supplément
sectoriel des médias…).
Le respect des droits de l’Homme dans leur globalité constitue ainsi un
actif précieux des entreprises qui contribue pleinement à leur réputation
et à leur performance.
Qu’il s’agisse de la montée en puissance des alertes lancées par des ONG,
des controverses de plus en plus médiatisées incitant les investisseurs
à exclure de leurs portefeuilles les multinationales ou les États mis en
cause pour manquement au respect de leurs engagements, des réticences
des autorités publiques à ouvrir des marchés aux acteurs défaillants ou
d’éventuels boycottages de la part de consommateurs ou de clients
insatisfaits, des classements sélectionnant les sociétés les plus vertueuses,
les droits de l’Homme sont au cœur de la création de valeur de l’entreprise
pour elle-même et pour ses parties prenantes.
CAHIER DES INDICATEURS EXTRA-FINANCIERS
2015
11